Lors de l’émission Tout peut arriver, Alexandre Champagne s’est livré avec franchise sur son parcours financier et personnel. Il a évoqué son passé modeste, issu d’une famille ouvrière ayant parfois eu recours à l’aide sociale. Ses parents n’étaient pas riches, mais travaillaient fort, comme bien des gens.
Ce contexte a façonné sa vision de l’argent, marquée par la prudence et le réalisme. En contraste, il raconte comment, avec Marilou, une simple idée – faire des quiches et les photographier – a déclenché une aventure entrepreneuriale inattendue : Trois fois par jour.
Ensemble, ils ont mis leur premier livre sur le marché avec une approche esthétique audacieuse. Le succès fut immédiat. Champagne confie avoir reçu un chèque de près d’un million de dollars pour cette première publication, un moment si surréaliste qu’il en est littéralement tombé par terre.
Il insiste néanmoins sur la perception de cette réussite : certains les jugent, d’autres s’inspirent de leur autonomie financière. Ce témoignage met en lumière les contrastes entre ses origines humbles et son succès, tout en révélant la complexité des rapports à l’argent, au risque, et à la reconnaissance dans notre société. (via Conneries QC)
@rc.ohdio 💸💸 Alexandre Champagne révèle les redevances touchées la première année pour le premier livre «Trois fois par jour», coécrit avec Marilou. Un montant qui surprend tout le monde autour de la table! 🎧 Rattrapez le segment «Critique en direct» de Tout peut arriver sur RC OHdio. Alex Viens et Nicolas Tittley discutent du tout premier spectacle solo d’Alexandre Champagne, «La grande désorganisation». #amilli #troisfoisparjour #photographie #toutpeutarriver #icipremière #radiocanada #booktok ♬ son original – Radio-Canada OHdio
