La publication de Simon Olivier Fecteau soulève un débat intéressant sur la langue, l’identité culturelle et la bureaucratie. Remplacer « Go Canadiens Go » par « Allez! Canadiens, Allez! » peut sembler, à première vue, une mesure excessive, surtout dans un contexte économique difficile.
Comme lui, plusieurs perçoivent cet anglicisme comme enraciné dans la culture populaire québécoise, et non comme une menace pour le français. Cette décision de l’Office de la langue française semble donc déconnectée de la réalité linguistique quotidienne.
À force de vouloir tout franciser, on risque de perdre une partie de notre identité collective spontanée.