La publication d’Hélène Boudreau propose une métaphore puissante et inspirante sur la valeur du temps. En comparant la vie à une banque qui nous accorde chaque jour 86 400 dollars – équivalents aux secondes d’une journée – elle nous rappelle que le temps est un capital précieux, renouvelable mais non transférable.
Chaque seconde gaspillée est une occasion perdue qu’on ne récupérera jamais, et chaque journée est une nouvelle chance de l’utiliser pleinement.

La première règle, celle de ne pas pouvoir accumuler ce que l’on ne dépense pas, souligne l’importance de vivre dans le présent. La seconde, celle de la possibilité que « le compte » se ferme sans préavis, nous confronte à la fragilité de l’existence. Ce rappel brut mais réaliste invite à cesser de se plaindre inutilement et à tirer le meilleur parti de chaque journée.
Cette réflexion nous pousse à vivre de manière plus consciente, à accorder de la valeur à notre temps et à nos choix quotidiens. Car au fond, chaque jour est un cadeau. Et si on utilisait nos 86 400 secondes avec plus de gratitude, d’intention et de joie, notre vie prendrait sans doute un tout autre sens.

