Frédéric Labelle, chroniqueur web, s’est récemment penché sur une nouvelle forme de protestation visant Tesla et son PDG, Elon Musk, une tendance qui prend de l’ampleur à l’échelle mondiale. Sur les ondes du 98,5 FM, en compagnie de l’animateur Jérémie Rainville, il a décrit plusieurs manifestations humoristiques et radicales contre la marque.
Parmi les gestes plus légers, certains propriétaires de Tesla remplacent le logo de leur voiture par celui d’une autre marque ou apposent des autocollants affirmant qu’ils ont acheté leur véhicule avant qu’Elon Musk ne devienne « fou ». D’autres, toutefois, s’en prennent aux concessionnaires ou aux voitures elles-mêmes, allant jusqu’au vandalisme.

Une tendance plus récente touche les chauffeurs Uber qui conduisent des Tesla : certains utilisateurs leur attribuent une seule étoile, laissent de mauvais commentaires ou annulent des courses, perturbant ainsi l’algorithme de répartition des trajets. Cette pratique nuit directement aux travailleurs qui utilisent ces véhicules pour gagner leur vie.
Jonathan Hamel, porte-parole d’Uber Québec, assure que ce phénomène n’a pas été observé dans la province, mais condamne toute forme de vandalisme ou de discrimination. La question demeure : jusqu’où ira cette vague d’opposition à Elon Musk et à Tesla ?
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