La poursuite en diffamation déposée par Louis Morissette contre Luc Poirier soulève des enjeux cruciaux sur la responsabilité des propos publics. Patrick Lagacé, dans son analyse, souligne la difficulté pour Poirier de se défendre après avoir tenu des propos non vérifiés sur la gestion de la Fondation Véro & Louis. Ce dernier a affirmé avoir « entendu dire » que Morissette recevait un cachet pour ses événements caritatifs, une allégation immédiatement démentie par l’humoriste et producteur.
Lagacé rappelle un principe fondamental : la liberté d’expression ne protège pas les affirmations sans fondement susceptibles de nuire à la réputation d’autrui.

Si Poirier avait simplement exprimé son malaise face à Morissette ou son refus de s’associer à sa fondation, aucun problème ne se poserait. Mais en relayant une information non vérifiée, il s’expose aux conséquences légales.
Ce cas illustre une réalité contemporaine : nous sommes tous, en quelque sorte, des figures publiques dans l’ère numérique. Chaque propos diffusé peut avoir des répercussions juridiques. Morissette demande 1,8 million de dollars en dommages, une somme significative qui démontre la gravité des accusations. La prudence est donc de mise avant de lancer des allégations non fondées dans l’espace public.
@985fm L’affaire Louis Morissette contre Luc Poirier 💥 Diffamation, poursuite et 1.8M$ en jeu… Quand les mots dépassent la preuve. Patrick Lagacé réagit 👉 Qu’en pensez-vous ? ⬇️ #lucpoirier #louismorissette #poursuite #justice #patricklagacé #985fm ♬ original sound – 98.5 FM

