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Guy A Lepage est furieux contre celui qui a fait un graffiti sur la murale de Michel Rabagliatti

La murale de Michel Rabagliatti, inaugurée en octobre 2022, a récemment été vandalisée à Montréal. Cette œuvre, représentant Paul, personnage emblématique du bédéiste québécois, dans un décor hivernal, était un hommage au patrimoine artistique local.

La réaction publique a été vive, notamment celle de Guy A. Lepage, qui a qualifié l’auteur du graffiti de « loser », exprimant son mépris dans une publication sur les réseaux sociaux.

Le bédéiste s’est dit attristé par cet acte qu’il perçoit comme un manque de respect envers le travail artistique. Les passants, eux aussi, ont exprimé leur désarroi. « Ça gâche un beau mur, surtout qu’on la voit en sortant du métro », a déploré un témoin.

La signature laissée sur la murale attribue cet acte à un groupe de graphiteurs antifascistes, NTFA. Cet événement relance le débat sur la gestion des graffitis à Montréal, où ces marques non autorisées envahissent les espaces publics. Malgré un budget annuel de 50 millions $ alloué par la Ville pour des opérations de propreté, dont l’enlèvement de graffitis, ce fléau persiste.

Pour protéger ces œuvres, des solutions comme les revêtements anti-graffiti sont envisagées, mais le respect reste la clé pour préserver le patrimoine artistique urbain.

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