La chicane a commencé entre Sophie Durocher et l’humoriste Sugar Sammy a fait une blague sur Twitter. Le 22 septembre dernier, Sugar avait partagé un article de TVA Nouvelles où l’on rapportait que l’Office de la langue française allait recevoir 5 millions de dollars de l’État dans le but d’engager de nouveaux employés. L’humoriste avait alors écrit: «In Québec when businesses will go bankrupt, we’ll make sure they do it in French.» (Au Québec, lorsque des entreprises feront faillite, nous veillerons à ce qu’elles le fassent en français.),
Sophie Durocher n’a pas trouvé ça comique, et elle a décidé de faire le texte La mauvaise joke de Sugar Sammy. On peut y lire: «Sugar Sammy a tweeté hier un commentaire tellement méprisant sur le Québec qu’il avait juste l’air d’un gars aigri, amer, pas drôle du tout.». Elle enchaîne en disant: «Le Québec lui a donné une carrière florissante. Comment peut-il rester sourd à cette volonté des francophones de promouvoir leur langue ? Lui qui donne des spectacles en Punjabi et en hindi, il ne comprend pas l’importance pour tous les peuples de maintenir leur diversité culturelle?».
Sugar a partagé l’article en écrivant «I’m back» et Sophie en a profité pour l’inviter à nouveau à son émission de radio: «Alors, @sugarsammy, quand est-ce que tu réponds à mon invitation ? Mon émission de radio à @QubRadio … ou une tranche de pizza dans le Vieux ?»
Sugar refuse l’invitation
Ça n’a pas pris de temps à Sugar pour faire une réponse tranchante à l’invitation de Sophie. Il a tweeté: «Salut @sophiedurocher, même si j’étais à l’extérieur depuis 5 ans, je me souviens encore des choses à éviter au Québec: 1- Les chroniqueurs comme toi 2- Les carbs #JeMeSouviens».
Sophie n’apprécie vraiment pas le refus
Sophie Durocher adorait l’émission C’est gars-là, elle avait même écrit un texte ultra positif sur la série dans le Journal de Montréal. Elle a ensuite tweeté: «Bouhouhou. Pourtant, quand j’écrivais des choses formidables au sujet de toi et Simon-Olivier le soir des Olivier, tu me trouvais ben fine. Surout, ne donne des entrevues que quand tu as des billets à vendre.»
