Je pense qu’il ne faut pas inviter à la même table Louis-José Houde et Sophie Durocher. Jeudi dernier, l’humoriste avait fait une publication Facebook où il était très mécontent de l’article La grosse cabane de Louis-José Houde fait par la journaliste Sophie Durocher du Journal de Montréal.
Dès le lendemain, Sophie a rédigé un billet pour se défendre et donner une réponse à l’humoriste chouchou des Québécois. Elle commence par «Louis-José Houde n’a pas pas aimé ma chronique La grosse cabane de Louis-José Houde…» pour ensuite donner un compliment à celui-ci en disant «Louis-José Houde n’a pas à être gêné de faire tant d’argent, il ne l’a pas volé. C’est un artiste extrêmement talentueux qui, en plus, travaille très fort. Le talent et le travail méritent un salaire en conséquence.».
L-J a fait 2 critiques à Sophie Durocher, la première concernait la diffusion du prix de vente de sa maison: «D’abord, au sujet de ma colère face à la diffusion du prix de vente de ma propriété, vous écrivez que j’étais pourtant « tout fier » de parler de l’argent généré par mon million de billets vendus en carrière. Je tiens à vous informer que je n’ai discuté de cet argent absolument nulle part. Jamais. En aucun temps, d’aucune manière, en aucune circonstance.» La réplique de Sophie: «Quand il dit qu’il n’a jamais discuté « de l’argent généré par son million de billets vendus en carrière », il nous prend (un peu) pour des cons. Envoyer un communiqué aux médias pour se péter les bretelles d’avoir vendu un millions de billets, ça s’appelle comment ?»
Le second reproche de L-J était: «Ensuite, comprenez qu’il s’agit beaucoup moins d’une question d’argent que d’intimité. La charge de ma réaction portait davantage sur la publication de photos de ma propriété… Je suis une personne discrète et c’est le non-respect de la vie privée qui me rend furieux. Tout comme quand vous insinuez que j’ai « laissé les caméras d’Accès illimité entrer dans mon intimité. » Il n’en est rien. On m’y a suivi en spectacle. On y aperçoit un plan serré de ma porte d’entrée et un coin de mon garage. Absolument rien à voir avec l’intimité et, surtout, à mille lieues de voir des photos de toutes les pièces de sa maison publiées sur le Web, incluant celle où l’on dort la nuit.» La réplique de Sophie: «Tertio, pour quelqu’un qui veut à tout prix préserver son intimité, je vous invite à aller voir les belles images de son immense chalet, de son lac privé, de son beau salon vitré, de son bureau rempli d’étagères de livres, de sa belle cuisine et de sa machine à café, de son ponton si large qu’on peut y jouer de la batterie, tout ça montrés dans le documentaire Petit précis du comique pour lequel Monsieur Houde a laissé les caméras entrer dans toutes sortes de pans de son intimité intime.».
Je vous laisse décider qui a gagné ce débat…